Règles concernant les participants

Les participants de ce sport seront contraints à trois points très précis, dont l’aptitude médicale, le critère d’âge et les équipements de sécurité.
Afin de pouvoir participer à une compétition, le participant devra détenir un certificat de non contre-indication à la pratique du sport automobile ou bien une licence octroyée par une fédération sportive. Concernant l’âge des participants, c’est la puissance de l’engin qui va en juger.
La voici donc :
Catégorie A :
– Pour les enfants de 6 ans : 2,5 chevaux (4 kW)
– Pour les enfants de 7 et 8 ans : 7 chevaux (5,1 kW)
– Pour les enfants de 9 et 10 ans : 12 chevaux (8,8 kW)
– Pour les enfants de 11 et 12 ans : 15 chevaux (11 kW)
– Pour les enfants de 12 et 13 ans : 21 chevaux (15,4 kW)
– Pour les enfants de 15 à 18 ans : 60 chevaux (44,1 kW)

Catégorie B1 :
– Pour les enfants de 14 ans : 15 chevaux (11 kW)
– Pour les enfants de 15 ans et plus : 28 chevaux (20,6 kW)

Catégorie B2 :
– Pour les enfants de 4 à 10 ans : 4,5 chevaux (3,5 kW)
– Pour les enfants de 11 à 13 ans : 9 chevaux (6,6 kW)

Pour ce qui est des équipements, le minimum obligatoire est un casque intégral et le non-port d’une écharpe, foulard ou tout autre vêtement flottant au niveau du cou du conducteur. Une combinaison est aussi obligatoire lors d’une course pour toutes les catégories, sans oublier les gants et chaussures montantes.

Règles concernant la qualification de l’encadrement

Les compétitions avec de karts de catégorie A : la présence d’un directeur de course, d’un commissaire technique et de commissaires de piste qualifiés par la FFSA est obligatoire. Pour ce qui est du médical, une trousse de secours médicale, la présence d’un médecin (inscrit au tableau de l’ordre des médecins) et d’au moins une ambulance. Les compétitions avec des karts de catégorie B1 ou B2 : La présence d’un chef de piste, d’un commissaire et de quelques moniteurs qualifiés est impérative. Le côté médical est identique à la catégorie A, mais une équipe de secourisme est requise.

La gyroroue : qu’est-ce que c’est ?

Le terme gyroroue vous est indifférent ? Peut-être êtes-vous plus familier des termes comme monoroue, monocycle ou encore monowheel ? Autrement dit, la gyroroue est un moyen de locomotion monoplace de forme arrondie doté d’une seule roue. Elle fonctionne grâce à un moteur alimenté par une batterie électrique.

Contrairement aux moyens de déplacement conventionnels, elle n’est équipée d’aucun appui. Elle dispose uniquement d’un système de stabilisation ou repose-pieds permettant de piloter l’engin et de se faufiler dans la circulation. En effet, la gyroroue convient aussi bien pour les déplacements en ville que pour les sorties sur des sentiers.

Quels sont les avantages de la gyroroue ?

Sa petite taille est l’un des principaux avantages de la gyroroue. Passe-partout, elle est le moyen de locomotion idéal pour circuler facilement en milieu urbain. Une fois à destination, elle peut facilement être rangée dans un sac ou dans un coin de votre garage. Toutefois, certains modèles plus imposants sont dotés d’une poignée de transport.

La gyroroue est également une alternative intéressante à la marche à pied et au transport public. Elle vous fait gagner du temps et vous évite les nombreuses contraintes comme le métro bondé et les horaires impossibles à respecter. D’ailleurs, elle est suffisamment puissante, sachant qu’elle peut atteindre une vitesse de 30 à 40 km/h. De son côté, la batterie intégrée lui fournit une autonomie jusqu’à 20 km. Il est toutefois conseillé de choisir un modèle équipé d’une batterie au lithium, l’une des plus performantes de sa gamme. Retrouvez le top 5 des meilleures gyroroues sur Energie Planète.

Outre l’aspect pratique, se déplacer en gyroroue signifie adopter une démarche plus écologique. Comme la plupart des véhicules électriques, elle est plus respectueuse de l’environnement. Cela vient du fait qu’elle est peu polluante, sans compter que les matériaux, comme la batterie, peuvent être recyclés.

Quelles sont vos obligations légales ?

Dès lors que vous vendez ou cédez votre véhicule, vous êtes dans l’obligation de faire une déclaration de cession dudit véhicule. Cette démarche n’est pas facultative. C’est l’article R.322-4 du Code de la route qui définit cette obligation et qui spécifie par ailleurs que cette déclaration doit se faire dans les 15 jours après la transaction. Il s’agit d’un délai maximal, ce qui veut dire que vous ne pouvez pas le dépasser. Il n’y a aucun motif recevable pour le retard de déclaration de cession. Vous n’avez donc pas le droit de prendre des libertés par rapport à ces quinze jours dictés par la loi. Cette déclaration est d’une importance capitale, car c’est grâce à ce document que vous pouvez dégager votre responsabilité vis-à-vis du véhicule. Qu’est-ce que cela signifie ? Tant que la déclaration de cession n’est pas faite en bonne et due forme, vous restez seul responsable de ce qui peut arriver au véhicule, qu’il y ait infraction, contravention ou autre. Puisque le nouveau propriétaire du véhicule ne peut pas encore mettre celui-ci à son nom, c’est votre nom qui sera cité chaque fois qu’un incident survient par rapport au véhicule. Donc, faites au plus vite pour effectuer cette déclaration. À partir de là, l’acheteur pourra immatriculer le véhicule à son nom. Désormais, vous ne serez plus importuné.

D’autres lois relatives à la déclaration de cession

Une déclaration de cession permet d’atteindre un double objectif : vous libérer de vos responsabilités concernant le véhicule et permettre à l’acquéreur de l’immatriculer à son nom pour qu’il en devienne le propriétaire officiel. Aussi, dès que possible, prenez le temps de faire cette déclaration. Il y va de votre intérêt, mais aussi celui du nouveau propriétaire. La loi vous donne quinze jours pour cela. Normalement, c’est suffisant pour toutes les formalités en relation avec cette déclaration.

Il y a une autre loi concernant la déclaration de cession que vous devez vous rappeler : il est strictement interdit de faire une déclaration de cession mensongère par rapport à votre véhicule. Selon la loi n° 2011-1 862 du 13 décembre 2011 dans son article L322-3 du Code civil, une déclaration frauduleuse vous fait encourir une peine très lourde. En effet, les sanctions prévues par la loi consistent en 30 000 euros d’amende et 2 ans de prison. Bien sûr, la confiscation du véhicule fait partie des sanctions pour une déclaration mensongère.

Mais qu’est-ce qu’une déclaration mensongère ? L’on parle de déclaration mensongère lorsque les informations que l’on rapporte ne sont pas conformes à la réalité. Alors, lorsque vous remplissez le formulaire, relisez et revérifiez deux ou même trois fois les informations sur le véhicule. Donc, quel que soit l’enjeu qui vous pousse à faire une fausse déclaration, évitez à tout prix de le faire, la loi est impitoyable sur le sujet.

Déclaration de cession, incontournable

La déclaration de cession est une obligation légale. Vous ne pouvez vous y soustraire dès lors que vous vendez ou cédez votre véhicule. Que vous en retirez de l’argent ou que vous le cédiez à titre gratuit, vous devez sans faute procéder à la déclaration de cession. Si vous pensez que ce n’est pas si urgent ou que cela peut attendre, vous vous trompez lourdement. Si dans les 15 jours suivant la vente du véhicule, vous ne l’avez pas encore fait, les risques sont énormes, aussi bien pour vous que pour l’acquéreur. Pour une déclaration de cession non enregistrée, vous risquez gros. Déjà, vous restez responsable du véhicule si quoi qu’il arrive à celui-ci. Vous n’aimeriez certainement pas payer des amendes pour une infraction que vous n’avez pas commise ! Or, une fois que vous aurez enregistré la déclaration de cession, vous aurez le droit de contester les contraventions reçues durant cette quinzaine de jours. Dans les 45 jours qui suivent, votre réclamation reste recevable, il vous suffit d’envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception à l’ANTAI ou le faire sur leur site Web. Du côté de l’acheteur, l’absence de cette déclaration de cession l’empêche d’immatriculer le véhicule à son nom, car il n’aura pas reçu le code de cession. Lui aussi risque une amende qui peut s’élever à 375 euros.

Vente entre particuliers

Si vous avez trouvé quelqu’un souhaitant acheter votre véhicule, vous devriez lui fournir les documents suivants :
– La carte grise du véhicule originale et barrée avec la mention « vendu le » ou « cédé le » ainsi que la date et l’heure de la vente ou de la cession,

– Le certificat de situation administrative, aussi appelé certificat de non-gage récent, plus précisément de moins de 15 jours. Il est important de rappeler ici l’importance de ce certificat de non-gage. L’acheteur le réclamera nécessairement parce que c’est la preuve que le véhicule n’est pas gagé et qu’il ne présente aucune opposition administrative.

– Parmi les documents à donner à l’acquéreur, vous devez lui présenter le procès-verbal de contrôle technique. Ce document est primordial, car il prouve que le véhicule n’a aucun problème technique, que l’on peut rouler avec en toute sécurité.

– Il faut aussi lui fournir la déclaration de cession, dûment remplie.

– Attendez-vous à ce que l’acheteur vous demande le carnet d’entretien du véhicule, peut-être les copies des factures des réparations que vous avez effectuées sur le véhicule, etc. C’est tout à fait son droit de vous les réclamer, alors, pensez à anticiper pour ne pas être pris au dépourvu et pour ficeler la transaction rapidement et dans les règles.

En général, il est plus avantageux de vendre un véhicule à un particulier parce que vous pourrez en tirer un meilleur prix, ce qui n’est pas toujours évident si vous le vendez à un professionnel automobile. Mais bien sûr, vous êtes obligé de faire toutes les démarches vous-même, en vous montrant vigilant et en n’oubliant aucune formalité légale, sous peine de le regretter amèrement.

Les démarches à suivre pour faire la déclaration de cession

Si vous voulez vous occuper en personne de la déclaration de cession de votre véhicule, cela vous prendra un peu de temps. Ce qui vous obligera à organiser votre emploi du temps. Mais c’est toujours une bonne chose de prendre en main certaines démarches, c’est une expérience à vivre. Toutefois, si vous ne disposez pas de temps pour cela, vous pouvez confier les démarches à un professionnel habilité. Dans ce cas, en seulement une poignée de minutes, vous répondez aux questions du formulaire qu’on vous soumet. Vous fournissez les documents essentiels et sous 24 h, votre dossier est traité.

Quatre étapes sont à suivre pour faire votre déclaration de cession.

– Vous préparez un dossier comprenant la carte grise du véhicule, le certificat de non-gage, le procès-verbal de contrôle technique et tout autre document concernant le véhicule.

– Vous devez remplir le formulaire CERFA 15776*01 et le compléter soigneusement. Il vous faut deux exemplaires dont l’un est pour l’acheteur.

– Vous remettez ce dossier ainsi constitué à l’acquéreur au moment de la transaction.

– Faites la déclaration de cession proprement dite. Vous devez vous rendre sur ce site, sur le site officiel de l’ANTS pour faire cette déclaration ou bien choisir l’un des professionnels agréés dans votre localité.

Les avantages d’une voiture d’occasion

Le prix d’une voiture neuve peut être hors budget, dans ce cas, le mieux serait de vous adresser à des particuliers ou des professionnels pour une voiture d’occasion. Les coûts sont de loin inférieurs et peut-être que vous pourriez encore discuter le prix. La qualité est-elle moindre ? Évidemment puisque ce n’est pas une voiture neuve, sauf que s’il y a des réparations à faire, celles-ci vous coûteront moins chères. Rappelez-vous que ses pièces, le moteur, etc. sont déjà plus ou moins usés. Cependant, même pour une voiture d’occasion, il est possible d’avoir une garantie surtout si vous vous la procurez chez un professionnel.

Ce qu’il faut faire avant d’acheter une voiture d’occasion

Vous pouvez poser des questions sur la voiture, sur les différents entretiens effectués sur celle-ci, etc. Il ne faut pas oublier de demander la fiche du dernier contrôle technique de la voiture. Pour ne rien laisser au hasard, demandez un essai du véhicule puis une fois au volant, soyez attentif à l’embrayage, à la boîte de vitesse, aux trains avant ainsi qu’à la transmission, aux divers bruits émanant de la voiture. Vous devrez aussi demander au vendeur pourquoi il veut vendre sa voiture et si sa réponse est vague ou s’il élude votre question, méfiez-vous. Ne faites pas un essai la nuit ou dans un sous-sol ou encore sous la pluie car certains défauts peuvent être alors invisibles et difficiles à discerner.

Les matériaux qui existent sur le marché

Le poids et la solidité d’un cadre de vélo dépendent du matériau dont il est constitué. Ces matériaux déterminent son aptitude à résister aux chocs et sa résistance face à une utilisation de longue durée. La solidité est de ce fait le point essentiel à voir lorsque vous cherchez le cadre d’un vélo. Dans ce cas, sachez que l’aluminium est léger, solide et bon marché. C’est le matériau le plus utilisé dans la construction du cadre de vélo et si vous ne recherchez pas de performances spécifiques, ce sera un bon choix. Si vous recherchez plus de robustesse et de légèreté, il existe des cadres en titane et en carbone. Cependant, ils sont plus chers et ne seront à prioriser que si vous recherchez un vélo avec une longue durée de vie et si vous êtes un adepte des compétitions sportives. Les cadres en acier sont eux aussi solides, mais plus lourds que les autres types de matériaux.

Les autres points qu’il faudra considérer

Le choix du cadre dépend aussi de votre taille. Sur un vélo trop petit, vous ne serez pas à l’aise, pas plus que sur un vélo trop grand. La taille du vélo dépend donc de la longueur de vos bras, de vos jambes et de votre torse. Lorsque les mensurations du vélo sont en adéquation avec les vôtres, vous pourrez pédaler plus facilement et obtenir la posture qui vous mettra à l’aise. Trouver le modèle qui vous convient peut ainsi être difficile malgré la multitude de modèles disponibles sur le marché. Il est cependant possible de faire appel à des sociétés spécialisées dans la fabrication de vélo sur mesure avec un cadre que vous aurez commandé à l’avance selon vos besoins.

La convivialité de l’interface

C’est le facteur le plus important à prendre en compte lorsque vous choisissez un GPS pour moto. En règle générale, le GPS que vous devriez choisir doit avoir des menus qui vous faciliteront toutes les tâches à effectuer. Alors, prenez le temps de comparer plusieurs GPS avant de faire votre choix. Assurez-vous également que l’écran tactile du GPS est sensible. Un écran de GPS pour moto doit être conçu pour que le conducteur puisse naviguer sur tous les champs, même lorsqu’il porte des gants.

La durabilité

Il convient de noter que le GPS pour moto se trouve à l’extérieur. Ce paramètre influe ainsi sur sa durée de vie. C’est la raison pour laquelle, les GPS pour moto n’existent pas en modèle standard. Dans ce cas, vous devriez lire les avis en ligne concernant le modèle pour savoir combien de temps il durera. Il est particulièrement recommandé de se procurer un GPS pour moto dans un magasin certifié afin d’éviter d’avoir des modèles contrefaits facilement endommagés. Si vous cherchez ainsi un GPS de qualité pour votre moto BMW, vous pouvez le trouver ici.

La forme et la taille

La forme d’un GPS pour moto est généralement rectangulaire et dotée de bords arrondis. En règle générale, un GPS pour moto doit avoir une taille comprise entre 10 et 12 cm. Un bon GPS doit permettre une visualisation optimale de toutes les informations sur l’écran. La taille d’un GPS moto doit être adaptée à l’espace sur le guidon. En plus de la forme et de la taille, vous devez également prendre en compte le système de fixation. Les experts recommandent généralement d’opter pour un système en attache par rapport à un autre sur ventouse.

La batterie

Ce paramètre est à prendre en compte si vous êtes habitué à faire de longs trajets. En effet, certains GPS pour moto ne peuvent être chargés sur la moto. Donc, vérifiez l’autonomie de la batterie afin qu’elle puisse tenir sur de longues distances.

Les bases : on reste « focus »

Les épreuves du permis de conduire n’incluent malheureusement pas d’exercices de concentration et pourtant… c’est la qualité la plus décisive. C’est même ce qui distingue les bons chauffeurs des autres. Gardez toute votre attention sur la conduite. Ne lancez jamais une discussion « émotionnellement laborieuse » ou qui nécessite votre attention au volant. L’humain est multitâche, mais pas sur la route. N’utilisez pas votre téléphone ou tout autre appareil électronique pendant que vous conduisez. Si certains constructeurs automobiles prennent aujourd’hui soin de nicher l’entrée « AUX » au fin fond de la boîte à gant, c’est justement pour décourager le conducteur de gérer la musique !
On ne le répétera jamais assez : les excès de vitesse vous donnent moins de temps pour réagir et augmentent la gravité de tout accident éventuel. Conduisez toujours de manière « défensive ». Soyez conscient de ce que font les autres conducteurs autour de vous et attendez-vous à… l’inattendu. Supposez que les autres automobilistes n’ont pas toute leur tête, et soyez toujours sur vos gardes. Il n’y a pas de méritocratie sur la route. Vous pouvez très bien vous retrouver embarqué dans un accident mortel sans avoir aucune espèce de responsabilité.
Gardez un gap de 2 secondes entre vous et la voiture qui vous précède dans la mesure du possible. Prévoyez 4 secondes si le temps est mauvais. Pendant les longs trajets, prévoyez du temps dans votre programme pour vous arrêter. Vous pourrez vous reposer, boire un café, manger, téléphoner, etc. Veillez à disposer toujours d’un éthylotest fonctionnel dans votre véhicule, même si vous ne buvez pas. La loi l’impose en France. Plus d’infos à ce sujet ici : https://www.wizza.fr/ethylotest/.

Cinq choses à faire si vous avez un accident

Avant de prendre la route, prenez le temps de sécuriser les objets que vous transportez. Ils peuvent se déplacer pendant que le véhicule est en mouvement. Si cela se produit, surtout n’essayez pas de récupérer des objets qui tombent au sol. C’est un motif courant d’accidents mortels. Ayez les objets nécessaires à portée de main, comme les frais de péage, les cartes de péage, etc.
Ne laissez pas les enfants se mouvoir plus que de raison à l’arrière de votre voiture. Ils doivent être bien attachés à leur siège, avec une ceinture de sécurité bien ajustée à tout moment pour deux raisons : ils ne doivent pas « trop » attirer votre attention, mais aussi et surtout pour leur sécurité. Évitez de conduire lorsque vous êtes fatigué. Sachez que certains médicaments provoquent une somnolence et rendent la conduite d’un véhicule très dangereuse. Faites toujours preuve de prudence lorsque vous changez de voie. Couper devant quelqu’un, changer de voie trop vite ou ne pas utiliser vos signaux peut provoquer un accident grave.
Si vous avez un accident, assurez-vous d’abord que personne dans la voiture n’est blessé. Ensuite, vérifiez que les passagers de l’autre véhicule, les piétons et toute autre personne se trouvant à proximité vont bien. Ensuite, faites ces cinq choses :
• Restez sur les lieux de l’accident : le départ peut entraîner des conséquences juridiques, comme des amendes ou des violations supplémentaires ;
• Appelez immédiatement la police ou le SAMU : ils enverront un officier et du personnel médical sur le lieu de l’accident. Une fois que les policiers sont arrivés, attendez qu’ils remplissent un rapport d’accident ;
• Restez dans la voiture : si vous êtes sur une autoroute très fréquentée, restez à l’intérieur de la voiture et attendez la police ou une ambulance. Il est dangereux que les passagers se tiennent le long d’une autoroute ou d’une autre route très fréquentée ;
• Restez calme : ne vous disputez pas ou ne vous battez pas avec l’autre conducteur. Échangez simplement vos coordonnées et les informations relatives à l’assurance. Si possible, obtenez également le nom et les numéros de téléphone des témoins.
• Contactez votre assureur : appelez votre assureur pour signaler le sinistre. Votre agent vous demandera tous les documents que vous recevrez au sujet de l’accident et vous donnera des informations importantes pour faire réparer votre voiture.

Pourquoi choisir un crédit renouvelable moto ?

Le crédit renouvelable appelé également crédit revolving est un crédit très simple à obtenir. C’est un crédit non affecté que vous pouvez utiliser pour divers motifs, dont l’achat de votre moto. Il est simple et rapide à obtenir si vous êtes pressé dans votre achat. De plus, la durée de remboursement est très longue et peut s’étaler sur de nombreuses années. Toutefois, la somme est limitée et ce crédit ne peut donc financer qu’une partie de l’achat. On peut dire que c’est la solution idéale si vous voulez simplement compléter votre budget. Il convient de noter que le crédit renouvelable est très cher, parce que le taux d’intérêt peut aller jusqu’à 20%.

Quand opter pour le prêt personnel moto ?

Le prêt personnel est également un crédit non affecté. Vous pouvez donc l’utiliser pour l’achat de votre moto sans avoir à justifier l’utilisation de l’argent. Les offres sont larges sur le marché et vous pouvez obtenir une somme plus importante. Par ailleurs, le taux d’intérêt est plus bas que celui du prêt renouvelable. D’où son intérêt.

Dans quels cas choisir le crédit affecté moto ?

Contrairement aux deux premiers crédits précités, le crédit moto est un crédit affecté. Vous devez alors fournir une pièce justificative à la banque quant à l’utilisation de l’argent. Vous pouvez par exemple apporter une facture du concessionnaire. C’est un crédit moins risqué que les deux autres crédits, car il ne vous induit aucunement au surendettement. La somme n’est pas versée sur votre compte, mais directement auprès du concessionnaire. Si jamais l’achat est annulé, le concessionnaire retourne simplement la somme à la banque. Vous commencez uniquement à rembourser le crédit après la livraison de la marchandise. Si le crédit est refusé par la banque, la vente est tout de suite annulée.

Quels sont les avantages du prêt instant ?

Si vous n’avez besoin que de quelques euros pour compléter votre budget, le prêt instant est sans aucun doute le crédit le plus intéressant. Vous pouvez faire une demande de prêt instant avec ArgentDirect. Il s’agit d’un crédit non affecté. Vous n’avez ainsi pas besoin de justifier l’utilisation de la somme empruntée auprès de la banque. Vous disposez de l’argent comme vous le souhaitez. Mais, contrairement au crédit renouvelable, le coût de ce prêt est plus faible. Le taux d’intérêt est plus intéressant. Qui plus est, certaines banques en ligne proposent un prêt instant sans justificatif de revenus. Dans ce cas, vous n’avez pas besoin de présenter des justificatifs de revenus dans votre dossier. Enfin, c’est un crédit plus flexible, parce que vous pouvez choisir la durée de remboursement et les mensualités en fonction de vos capacités de remboursement.

Comment faire le bon choix ?

Ce qui veut dire que les problèmes mécaniques risquent d’être plus fréquents -mais pas forcément -, donc, les coûts de réparation ou de remplacement de pièces sont à prévoir. Cependant, si vous faites le bon choix, vous avez des chances de tomber sur une voiture encore en très bon état. De l’autre côté, une voiture d’occasion présente l’avantage de coûter moins chère qu’une neuve, c’est logique. Leur coût peut être de moins 40 % que celui des voitures qui sortent d’usine. Un autre atout d’une voiture d’occasion, c’est que sa décote est plus basse que pour une neuve.

Comment acheter une voiture d’occasion dans les meilleures conditions ?

Vous pouvez faire votre sélection en ligne, faire des comparaisons de prix comme de l’état des voitures. Cela vous épargne de faire le tour de tous les vendeurs de votre ville. Puis, acheter une voiture sur un site Internet vous dispense de formalités administratives et le plus souvent, le vendeur propose de vous la livrer où vous le désirez. Un achat de voiture d’occasion en ligne vous permet aussi de tomber sur des offres très alléchantes, surtout si le vendeur est pressé. Toutefois, si vous achetez chez un particulier, prenez toujours le temps de bien vérifier l’état de la voiture, faites un essai en roulant avec, exigez de voir le carnet d’entretien. Mais faire votre choix chez un concessionnaire peut être la meilleure option car zéro risque d’arnaque, entretien garanti, sécurité de la transaction, des choix multiples, une garantie intéressante, une offre de reprise etc.

Les principales missions du skipper

Le pilotage des navires de plaisance à voiles est la principale mission du skipper. Il se peut aussi que lors du trajet le skipper puisse inviter ses passagers à manœuvrer et à conduire le navire. Si le skipper ne dispose pas d’équipage à bord lors d’une croisière, il doit également assurer l’animation à bord de son embarcation. Hors-saison touristique, le skipper est également appelé pour travailler pour le convoyage de bateaux de particuliers. À première vue, le métier semble facile, mais pour y accéder, vous devez passer de nombreuses étapes.

Skipper, un métier professionnel de la voile

On ne s’improvise pas skipper : ce métier exige une connaissance approfondie de la navigation, des règles maritimes, de la communication en mer et des règles de sécurité. Pour les acquérir, vous devez suivre une formation pour obtenir le diplôme « Capitaine 200 Voile » qu’on appelle couramment le C200V. Il est à noter également que cette formation n’est pas accessible à tout le monde. Pour le suivre, vous devez passer par un concours d’entrée et avoir été déclaré apte et en bonne forme physique par un médecin. Que vous ayez 18 ou 50 ans, vous pouvez toujours vous inscrire à ce concours d’entrée, car il n’y a pas de limite d’âge. Durant la formation, vous allez passer des cours théoriques à la pratique.